Quand j’ai quitté le Japon en 2004, les membres des cours de langue japonaise du centre international de Tama m’ont organisé un sôbestukai (en anglais une farewell party et chez nous un pot de départ on va dire). Et, comme chez nous, il y a une petite carte que tout le monde signe avec un petit mot gentil. Sauf qu’au Japon ce n’est pas une carte avec un dessin dessus mais une grande carte plate avec rien au dos (ou alors un léger motif floral ou géométrique). L’écriture japonaise, même manuscrite, est tellement esthétique que j’ai conservé cette carte depuis et qu’elle est en bonne place sur une de mes étagères, comme une décoration.

Et à l’issue de mon second séjour en 2006, l’archéologue qui m’avait accueillie au centre archéologique de Tôkyô m’a aussi fait une petite carte de départ (petit modèle pliant celui-là) en m’offrant un petit pot de Haagen Dasz tiré du mini-congélo de son bureau. Là aussi, cette carte si belle trône sur mes étagères en souvenir de ces merveilleux séjours.

 

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