Purikura
Et bien oui, pour nos lecteurs du monde entier (mouarf !) qui ne sauraient pas ce qu’est un purikura et donc ne comprendraient pas le titre de ce blog (non messieurs, dames, ce n’est pas juste un mot « qui fait japonais »), voilà à votre droite un extrait de ma foisonnante collection.
Le purikura n’est en fait pas un mot japonais mais anglais… à la sauce japonaise. A la base, c’est « print club ». En gros, c’est un photomaton qui ne fait pas de photos d’identités mais dans lequel on peut entrer à plusieurs pour faire des photos rigolotes entre ami(e)s et ainsi immortaliser une journée ensemble, une sortie ou rien du tout. C’est une activité largement pratiquée par les jeunes japonaises (collège et lycée… fac un peu éventuellement) et je pense avoir converti mes amies japonaises qui on bien dépassé l’âge de ce genre de choses là-bas ^_^ Mais je suis fan alors elles y ont pris goût aussi, se prêtant volontiers au jeu de cette « gaminerie ».
Ce qu’il y a de bien avec le purikura c’est que non seulement on en trouve partout, ce n’est pas cher (400 yens la séance, soit 3,67€ selon les cours d’aujourd’hui) et qu’en plus il en existe sur différents thèmes. Vous avez les purikura tous simples comme sur la photo de droite où après avoir pris votre photo, à l’aide d’un stylet vous pouvez personnaliser ces dernières, écrire dessus, mettre des coeurs, des fleurs, des étoiles etc… et vous avez ceux à thème qui vous demandent de prendre certaines pauses pour coller au décor (photo de gauche… j’ai mis la plus sobre ^__^).
Au prochain épisode, j’expliquerai pourquoi « print club » est devenu « purikura ».
(oui, je fais des teasers maintenant, pour fidéliser mon audience, comme dirait Jean-Claude).